La conception de la médecine en Egypte ancienne est bien particulière. Le corps est vu comme un immense réseau de conduits, similaires au canaux d'irrigation du Nil, appelés « met ».

Satis, déesse égyptienne d’Éléphantine est la gardienne des sources du Nil.

De ces deux éléments est sans doute né le hiéroglyphe de l'antilope, désignant le fait d'être habile, instruit et de pouvoir faire des prescriptions médicales.

Dans le Poesian, cette antilope est Chesa, chirurgien graphique, grand connaisseur du corps des lettres et l'un des dix princes d'Atlantis, qui requérait ses services. Il utilise dans sa médecine les ingrédients de la médecine antique égyptienne.