Qōph, le Q de l'alphabet phénicien


	Les Grecs nièrent leur responsabilité en évoquant une métamorphose impromptue du plus puissant et libertin de leur dieu : Zeus. Qōph et les autres lettres phéniciennes, qui étaient présents à l’enlèvement d’Europe, sont persuadés qu’il s’agit là d’un coup monté de toute pièce, et que ce taureau n’est autre que Ka, le père de la reine Alpha. C’est pourquoi les lettres phéniciennes, malgré leurs intérêts économiques en Karactère, sont devenues des Rebelles.

Qōph, le Q phénicien

RESIDENCE : Plexus, forêt au Puits

SEXE : F

SIGNE : Rat

ELEMENT : Eau

SYMBOLE : Apprentissage

ANIMAL : Singe

PIERRE : D’alun

COULEUR : Violine

PAPIER : D’identité

Qōph est une lettre phénicienne qui descendrait du hiéroglyphe représentant un chas d’aiguille, une tête de singe ou un hachoir. Il en hérite un caractère à la fois fin, rusé et intransigeant. De plus, comme les Phéniciens sont un peuple de navigateurs et de commerçants, il est doué pour les échanges et la diplomatie. Il connaît parfaitement les mers qui entourent Karactère et se passionne pour les histoires racontées de port en port depuis des millénaires.

Pionniers de l’alphabet, les Phéniciens ont longtemps cru qu’à la différence de leurs aïeux, ils seraient irremplaçables. Mais lorsque leur princesse Europe fut enlevée par un grand et puissant taureau, ils durent offrir l’alphabet aux Grecs dans l’espoir de la retrouver.